Au Mexique. De ce côté du paradis. Les animaux ont-ils une âme ? Fitzgerald et Hemingway. La trêve des zapatistes. La seconde mort de Charles Dickens.
Abstention, piège à cons ? Silence, on tue (en Syrie). Pourquoi le FN n’a pas sa place au Parlement. Sollers et Picasso. Mes regrets, monsieur Sotinel.
Le philosophe a lancé, mardi, à Milan, la première représentation de son spectacle « Looking for Europe ». Contribution à la campagne européenne qui le mènera dans 22 villes du Vieux Continent.
En juin 1978, BHL s’est rendu à Buenos Aires, au temps de la dictature de Jorge Videla. Utilisant le prétexte du « Mundial » de football – qu’il appel à boycotter – il enquête, malgré une arrestation policière, sur les dessous du régime autoritaire argentin : il écrit à cette occasion un reportage intitulé « Un hiver à Buenos Aires ».
Que lit un philosophe de gauche antimarxiste, célèbre pour son talent, sa virulence et ses chemises blanches à grand col ?
BHL a scruté à plusieurs reprises la figure trouble de Drieu la Rochelle, symbole d’un funeste fascisme français.
BHL admire depuis sa jeunesse l’écrivain Louis Aragon, romancier et militant, intellectuel paradoxale. Les deux hommes se sont même croisés.
Dans années 70, BHL crée un quotidien de gauche et publie ses premiers essais chez Grasset qui lancent la Nouvelle philosophie.
Un récit : André Hébert, avec les Kurdes en Syrie ; un roman de Bellanger dont BHL est l’un des héros ; une poétique de Mallarmé par Jean-Claude Milner.
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