Résultats pour « Le Diable en tête »

Lévy, Baudelaire en tête

Pierre Assouline, Lire, 01 septembre 1988

Étayée par une solide recherche historique, la reconstitution de l’agonie du poète par BHL se veut surtout une réflexion sur le mystère de la création.

Au diable la démocratie de proximité. Sollers et Pythagore : vingt vies et une vie

Bernard-Henri Lévy, Le Point, 22 mars 2001

Pourquoi il faut s’inquiéter de cette obsession du proche. Un livre de Gérard de Cortanze à la mesure du cas Sollers et de sa légende.

Déjeuner de têtes à l’Élysée

Liliane Sichler, L’Express, 18 septembre 1978

Quand le Président ouvre sa table à la fine fleur des intellectuels français, « L'Express » en fait un récit savoureux.

BHL opération portes ouvertes

Éric Neuhoff, Vogue, 01 novembre 1984

« Vous ne m’avez sûrement pas attendu pour vous jeter sur “Le Diable en tête”. Vous avez bien fait. C’est excellent. Le siècle est là. »

« BHL m’a tout dit… » Interview par Edmonde Charles-Roux

Bernard-Henri Lévy (entretien), Femme, 01 octobre 1984

Rencontre exceptionnelle pour « Femme », mise en image par Robert Doisneau : Edmonde Charles-Roux, écrivain, prix Goncourt (« Oublier Palerme »), femme de ministre, retrouve son métier de journaliste – elle a longtemps dirigé « Vogue » avec brio – en confessant Bernard-Henri Lévy. Le premier roman du philosophe devenu romancier, « Le Diable en tête », est l’événement de la rentrée.

Bernard-Henri Lévy et la comédie sociale : reflets dans un miroir

André Brincourt, Le Figaro, 21 septembre 1984

Voilà un écrivain, Bernard-Henri Lévy, qui, avec son premier roman « Le Diable en tête », ne triche pas avec les mots.

Un « nouveau philosophe » s’interroge sur le destin d’un fils de « collabo »

Jean-Claude Lamy, France-Soir, 02 octobre 1984

Avec « Le Diable en tête », Bernard-Henri Lévy aborde pour la première fois le roman, en prenant des risques.

Bernard-Henri Lévy : un héros de notre temps

Jean-Marie Rouart, Le Quotidien de Paris, 25 septembre 1984

« Le Diable en tête » est un roman passionnant qui embrasse, à travers le portrait d’un terroriste, toute la légende, sombre, voluptueuse et cruelle, du siècle.

Bernard-Henri Lévy au coeur du romantisme politique

Bernard-Henri Lévy (entretien), Le Quotidien de Paris, 20 septembre 1984

Dans son premier roman « Le Diable en tête » (Grasset), BHL revit les illusions perdues de sa génération hantée par ce mal du siècle, le fascisme. Dans un entretien avec Paul Guilbert, il s’explique sur son passage de l’essai au roman et sur la présence du Mal en politique.

Désillusion et compassion

Paul Guilbert, Le Quotidien de Paris, 20 septembre 1984

« Le Diable en tête » nous restera comme le roman de l’éducation intellectuelle et sentimentale, des illusions perdues, d’une génération.