Quand un intellectuel Ukrainien rend hommage à BHL pour son action en faveur de l'Ukraine et son discours prononcé sur la place Maïdan.
Galia Ackerman revient sur l'engagement de Bernard-Henri Lévy et André Glucksmann lors de la révolution du Maïdan de 2014 en Ukraine.
Invasion de l’Ukraine ou non, Poutine a trois objectifs stratégiques, dont le moindre n’est pas d’humilier ou de ridiculiser l’Occident.
Ne mâchant pas ses mots contre les soutiens français de Poutine, le philosophe défend la politique étrangère de Macron et plaide pour le boycott des JO de Pékin.
Allocution prononcée à Kiev, à l’occasion de la remise à Viktor Pinchuk, cet « Européen convaincu et conséquent », de la Metropolitan Andrey Sheptytsky Medal of Honor Award.
Lors de cette rencontre à l’Académie Mohyla de Kiev, le 16 mai 2014, à l’occasion du « Forum européen » organisé par Leon Wieseltier, BHL définit ce qu’est le poutinisme tout en montrant que l’Europe est aussi forte que Vladimir Poutine est faible.
Alors qu’on reparle d’une invasion par les troupes russes, le philosophe rappelle pourquoi Vladimir Poutine n’a aucun droit sur l’Ukraine.
En ouverture du Forum du théâtre européen au Centre universitaire méditerranéen à Nice, placé sous la présidence de Jorge Semprún, BHL offre une synthèse d’une trentaine de rapports, rédigés par autant de critiques et d’experts, et dressant, chaque fois, un état des lieux du théâtre contemporain dans chacun des pays d’Europe.
Bernard-Henri Lévy poursuit la série de ses « Questions de principe ». Cette fois, c’est le recueil des années 2012-2018. Dans ce tableau d’une époque dans tous ses états, à la façon de l’oeil du cyclone qui reste immobile dans les turbulences du monde, on retrouve la plume de l’écrivain qui s’enfièvre mais ne tremble pas.
Crise des migrants, conflits mondiaux, radicalisation populiste, haine des élites, rejet du capitalisme : dans un entretien aux « Echos », Bernard-Henri Lévy prend position sur les crises du moment. Sans langue de bois.
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