Bernard-Henri Lévy, dans son « Éloge des intellectuels », en quelques pages brillantes, décrit et analyse la banalisation de la pensée.
La crise molle que traverse l’intelligentsia, son discrédit, sa disqualification sourde, sont-elles le prélude à sa disparition ?
Dans son dernier livre, Bernard-Henri Lévy se pose la question de savoir si les intellectuels sont coupables. Et si oui, de quoi ?
La presse gauchiste est marquée par des « Révolutions » politiques, touchant au rôle de la parole et à la définition de la « Vérité populaire ». Une enquête de Bernard-Henri Lévy.
Le premier roman de BHL se lit avec fièvre. Le tragique est là, bien intégré dans un panorama de notre temps.
« Le Diable en tête » est un roman passionnant qui embrasse, à travers le portrait d’un terroriste, toute la légende, sombre, voluptueuse et cruelle, du siècle.
Dans son premier roman « Le Diable en tête » (Grasset), BHL revit les illusions perdues de sa génération hantée par ce mal du siècle, le fascisme. Dans un entretien avec Paul Guilbert, il s’explique sur son passage de l’essai au roman et sur la présence du Mal en politique.
« Le Diable en tête » nous restera comme le roman de l’éducation intellectuelle et sentimentale, des illusions perdues, d’une génération.
« Le Diable en tête », premier roman de BHL, n’est que la continuation par d’autres moyens de ses livres précédents.
BHL, qui vient de recevoir le prix Médicis, est l’une des figures du monde intellectuel qui suscitent les réactions les plus passionnées.
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