Du siège des Nations unies à Washington et Los Angeles, le philosophe et reporter de guerre montre son dernier film pour que l’on n’oublie pas l’Ukraine.
Le 1er décembre 2003, Bernard-Henri Lévy participait à la cérémonie de lancement de ce que l’on a appelé « l’Initiative de Genève » pour la paix au Proche-Orient, en tant qu’« Ambassadeur pour l’Europe » pour cet accord.
Le philosophe a toujours été partisan de la solution à deux États. Mais le règlement politique ne peut être à l’ordre du jour tant que le Hamas n’est pas anéanti.
France 2 diffuse ce mardi soir le troisième volet du carnet de bord du philosophe globe-trotter dans la guerre en Ukraine. Il y plaide pour un accroissement des livraisons d’armes au pays qui lutte depuis bientôt deux ans contre l’invasion russe.
L’ancien premier ministre britannique et le philosophe enjoignent aux démocraties européennes de ne pas oublier Kiev au prétexte de Tel-Aviv, et à combattre avec la même fermeté le Hamas et la Russie.
BHL publie un second roman, un récit polyphonique, tissé autour d’un destin : en l’occurrence, celui, partiellement imaginé, de Baudelaire.
BHL évoque pour « Marianne » ses prises de positions sur l’Amérique, la gauche, les droits de l’homme, l’argent, Sarkozy, etc.
Le philosophe français a réuni, lundi à Paris, plusieurs membres de l’opposition syrienne à l’étranger.
Quarante-trois ans plus tard, BHL retourne pour la première fois au Bangladesh. Le professeur pakistanais Arif Jamal exhume ce lointain mais vivace passé.
Une idée de l’Europe est morte en Bosnie. La Bosnie ce n’était pas seulement un Etat. Ni un pays. C’était aussi une idée, une culture.
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