Le philosophe Bernard-Henri Lévy s’est rendu en Syrie, en Irak et aux portes de l’Iran pour retrouver trois branches du peuple martyr.
La bataille qui se joue à Erbil n’est pas sans rappeler celle qui s’éternise à Kiev, le soutien des alliés en moins. Excepté quelques sénateurs américains.
Lors de son discours à l’Université hébraïque de Jérusalem, Bernard-Henri Lévy démontre l’importance de la contribution de Malraux à la pensée moderne de l’être-juif, en explorant son œuvre, son rapport à Israël.
L’intellectuel lance un appel en faveur des Kurdes, après le référendum du 25 septembre sur l’indépendance, à l’heure où l’armée irakienne est intervenue dans la province de Kirkouk.
Ce que dit vraiment la tragi-comédie américaine du « shutdown » : l’inconséquence stratégique de Trump face à la Chine, à Poutine, Erdogan et consorts.
Pour le philosophe, si Barack Obama a parfois « déçu », il n'a pas « failli ». Le Président américain a changé le visage de l'Amérique.
Pour Bernard-Henri Lévy, "il n'y a pas de meilleur choix que d'aider les Kurdes à nous aider à vaincre la barbarie sans pareille des coupeurs de tête de l'EI".
Les événements de ce début d'année en Arabie saoudite sont particulièrement préoccupants, mais la communauté internationale ne réagit pas.
Face à la persécution des chrétiens d'Orient, l'Occident donne de la voix. Mais l'effort doit aussi venir du monde arabo-musulman lui-même.
Retour sur l'attentat qui, dans la nuit du Nouvel An, a fait 21 morts et 79 blessés parmi les fidèles de l'église d'Al Kidissine d'Alexandrie.
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