Quand la ville de Paris honore le commandant Massoud, assassiné le 9 septembre 2001, en baptisant une allée à son nom, le philosophe se souvient de son ami.
Contre tous ceux qui oscillent entre la lâcheté et l’aveuglement, le philosophe exprime sa solidarité avec le professeur de Trappes menacé par les islamistes.
À ceux qui à gauche ou à droite seraient tentés de ne pas choisir en 2022 entre Mme Le Pen et M. Macron le philosophe rappelle le danger du jeu avec le feu.
L’auteur de « L’Idéologie française » réévalue Georges Bernanos ; un roman sur les dernières années de Clemenceau ; « Le Messie » de François Meyronnis.
Le philosophe rappelle en cinq points pourquoi il fallait, en 2011, intervenir militairement en Libye pour chasser le dictateur Kadhafi.
Le retrait des troupes américaines d’Afghanistan signifie, pour le philosophe, le retour tragique d’Al-Qaïda, de Daech et des talibans.
Entre la fanfare rouge-brune qui voit le virus comme un promoteur de ses névroses et les tenants d’une réglementation liberticide, il reste peu de place au langage de la raison.
Dans « À vrai dire » (Cerf), l’académicien répond à Paul-François Paoli, journaliste au « Figaro ». Une libre conversation. Presque des Mémoires.
Vingt ans après la conférence de Durban, le philosophe souligne pourquoi sa commémoration serait une infamie. Et appelle à son boycott.
Comment de courageux vétérans de l’armée américaine ont exfiltré de Kaboul leurs compagnons d’armes afghans, au nez et à la barbe des talibans.
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