Lévy, en Libye, fut à l’exemple de Byron, d’Annunzio, Lawrence, Malraux, Orwell, ces lettrés requis par une haute nécessité, s’ingérant dans la guerre.
Du soulèvement à la libération, le philosophe Bernard-Henri Lévy signe un film qui retrace les huit mois d’insurrection.
L’aventure libyenne de BHL racontée au jour le jour par son auteur. Discutable mais passionnant.
Sur la Syrie, la Libye, Hollande et Sarkozy, le droit d’ingérence mais aussi son « narcissisme » supposé, ses rapports au cinéma et Marine Le Pen qui le poursuit en justice pour diffamation, Bernard-Henri Lévy s’explique.
Le Journal de BHL, « La Guerre sans l’aimer », nous livre les clés d’une guerre et d’un homme, et finit par convaincre.
Après l’« aventure » en Libye, le livre. Bernard-Henri Lévy publie un récit, chanson de geste de Nicolas Sarkozy en chef de guerre.
Dans son nouveau livre, « La Guerre sans l’aimer », Bernard-Henri Lévy décrit la face cachée de la révolution libyenne, dont il fut un acteur clé. Philippe Tesson, qui le connaît bien et de longue date, salue les engagements de cet intellectuel épris d’action.
La révolution libyenne vivra-t-elle sous la menace d’un fou qui n’a plus rien à perdre et qui, tôt ou tard, fera tout pour engloutir la Libye avec lui ?
Que faut-il penser de cette affaire de charia ? Et se pourrait-il que l’on se retrouve avec un État interdisant le divorce et réinstaurant la polygamie ?
Le philosophe salue la dignité de ces combattants de fortune qui, à Syrte, comme au premier jour, font la guerre sans l’aimer.
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