Récit de l’avant-première au cinéma Zhovten du deuxième film du philosophe dédié à l’Ukraine.
Le philosophe, l’acteur, l’écrivain et le musicien dressent une liste de dix mesures à appliquer immédiatement pour obliger la Russie à mettre fin au conflit, ou, au moins, à entamer un processus de désescalade.
Pokrovsk, capitale du calvaire ukrainien ; la mort au front d’Anton Azman, fils du rabbin de la synagogue centrale de Kiev ; une bonne nouvelle : la libération de héros d’Azovstal.
Le philosophe rappelle pourquoi la Russie ne peut pas gagner. À condition que l’on comprenne enfin que Poutine n’est fort que de la faiblesse de l’Occident.
Après l’attentat de Moscou, le philosophe rappelle aux « âmes libres du monde » que c’est le même combat qui se joue face à Poutine et au djihadisme.
Alors que l’agression russe entre dans sa troisième année, le philosophe, auteur de trois films de soutien à l’Ukraine, rappelle que cette guerre est « notre guerre ».
Au valeureux président américain, celui qui a soutenu l’Ukraine et Israël, aujourd’hui en proie à des défaillances de santé, le philosophe demande de « passer le relais ».
Le philosophe, qui soutient depuis dix ans la cause de l’Ukraine, où il a tourné trois reportage de guerre, explique pourquoi il a accepté d’être distingué par l’ambassadeur en France.
Le philosophe a présenté son film « L’Ukraine au cœur » au Congrès, à Washington, au moment où les élus américains doivent se prononcer sur une nouvelle aide pour l’Ukraine.
Hier soir, à l’ONU, le documentaire consacré aux héros ukrainiens a été projeté devant une salle comble. Un événement d’autant plus important que la position de l’Ukraine semble s’affaiblir sur le plan international.
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