Le philosophe, cinéaste et grand reporter a vu « 2, place de la Victoire, Kyiv », le film de Romain Goupil tourné dans l’Ukraine en guerre.
En pleine guerre d’Ukraine, un ancien colonel des Marines a créé le groupe Mozart, une task force qui vient militairement en aide aux civils.
Le philosophe revient d’Ukraine. Il y a vu la défaite de Poutine. L’on peut s’attendre, prévient-il, à ce que le dictateur pratique la politique de la terre brûlée.
On disait le 46e président des États-Unis à bout de souffle. Il a pourtant retrouvé les accents d’un Roosevelt pour prendre la tête du monde libre.
De nouveau à Kyiv, capitale bombardée, le philosophe et grand reporter rencontre Oleksii Reznikov, le ministre ukrainien de la Défense.
Le philosophe se souvient de Mendès France, rend hommage au « soldat » Boris Johnson et présente son film « Pourquoi l’Ukraine » en Israël.
Que sont devenus les derniers défenseurs de Marioupol ? Et Julia Paevska, tombée aux mains des Russes ? L’esprit de Munich, lui, se porte bien…
Face à l’envahisseur russe, l’armée ukrainienne dispose d’une arme qui pourrait s’avérer décisive : le sentiment de mener une guerre juste.
Ilya Samoïlenko, commandant en second du régiment Azov assiégé par les Russes dans la ville martyre de Marioupol, s’est confié à Bernard-Henri Lévy.
Faut-il « négocier » avec Poutine ? Au Congrès, à Washington, c’est l’une des questions que pose le philosophe à ses interlocuteurs américains.
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