Visionnage du film sur l’Ukraine, réalisé par Bernard-Henri Lévy qui pousse à un soutien unanime, sans réserves diplomatiques ou hésitations pacifistes d’aucune sorte.
Depuis le début de la guerre en Ukraine, le philosophe filme ce qu'il voit sur le terrain. À l'approche des un an du début du conflit, il revient sur ceux qu'il a rencontré sur place.
Si la vaillance ukrainienne inflige des défaites militaires à la Russie, il est à craindre que Poutine ne gagne à l’Ouest la bataille de la peur.
Dans le Haut-Karabakh, l’Azerbaïdjan, soutenu par Erdogan, opère contre l’enclave arménienne un blocus qui s’apparente à un nettoyage ethnique.
Nadia Savtchenko est devenue le symbole de l’arbitraire poutinien – mais aussi de l’esprit de résistance ukrainien.
Pour des raisons de sécurité et de dignité, par intérêt et par devoir, il faut accélérer les procédures d’adhésion de l’Ukraine à l’Otan.
Contre les clichés historiques, le philosophe et grand reporter rappelle combien les juifs d’Ukraine participent à l’héroïque résistance.
Le philosophe, cinéaste et grand reporter a vu « 2, place de la Victoire, Kyiv », le film de Romain Goupil tourné dans l’Ukraine en guerre.
En pleine guerre d’Ukraine, un ancien colonel des Marines a créé le groupe Mozart, une task force qui vient militairement en aide aux civils.
Le philosophe revient d’Ukraine. Il y a vu la défaite de Poutine. L’on peut s’attendre, prévient-il, à ce que le dictateur pratique la politique de la terre brûlée.
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