Les vœux de Bernard-Henri Lévy pour une année qui s'annonce décisive pour l'Europe, l’Ukraine, Israël et le monde.
Le philosophe, reporter de guerre et cinéaste détaille quelles armes il faut livrer à l’Ukraine pour qu’elle gagne la guerre contre l’envahisseur russe.
Du siège des Nations unies à Washington et Los Angeles, le philosophe et reporter de guerre montre son dernier film pour que l’on n’oublie pas l’Ukraine.
Diffusé ce mardi 14 novembre sur France 2, le dernier docu du philosophe en costume noir a pour intérêt de montrer les ravages que cette guerre continue à produire aux portes de l’Europe.
Le philosophe s’inquiète du naufrage d’un hebdomadaire modéré. Il pleure la disparition d’un ami et célèbre le « ¡No pasaran! » ukrainien.
Le philosophe, qui se trouve actuellement dans l’Ukraine en guerre, poursuit sa réflexion sur la signification et les implications du conflit.
Le philosophe, qui se rend fréquemment dans l’Ukraine en guerre, poursuit sa réflexion sur la signification et les implications du conflit.
Le philosophe s’élève contre toutes les « prudences » diplomatiques ou médiatiques qui ont suivi l’explosion du barrage de Kakhovka.
Récit d’une soirée où « Slava Ukraini » était inscrit, à chaque pupitre, en lieu et place du nom des 193 États membres de l’ONU.
Le philosophe a reçu une lettre de son ami géorgien, emprisonné et empoisonné à Tbilissi. Et appelle l’Europe à ne pas oublier ses défenseurs.
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