Résultats pour « Le Testament de dieu »

Adieu, Françoise Giroud

Bernard-Henri Lévy, Le Point, 24 janvier 2003

BHL se souvient de sont amie, Françoise Giroud, femme belle, lumineuse, engagée, élégante et révoltée à la douceur secrète. Hommage.

Pour BHL la pureté c’est le mal

Robert Serrou, Paris Match, 15 décembre 1994

Du nettoyage ethnique en Bosnie ou au Rwanda aux exaction intégristes en Algérie en passant par le retour en force des nationalismes et par la formation, chez nous, de ghettos ethniques, l’ex-vedette des Nouveaux philosophes voit partout la même origine aux crises de notre époque : l’obsession de la pureté. C’est l’objet de son dernier essai. Dont la clairvoyance fait, pour une fois, l’unanimité.

Bernard-Henri Lévy s’engage dans la lutte contre tous les intégrismes

François Gachoud, La Liberté, 02 janvier 1995

Dans « La Pureté dangereuse », BHL dénonce la montée de ce nouveau péril. Dénominateur commun des tragédies actuelles. Il y voit une menace pour nos démocraties endormies.

Fidèle à Israël, indéfectiblement…

Roger-Pol Droit, Le Monde, 11 avril 2024

BHL signe un texte de résistance courageux qui sonne juste et vrai, fidèle envers le peuple juif, son histoire et ses valeurs.

Curieux éloge

Luc Baresta, France Catholique, 27 mars 1987

On s’est moqué du « sanglot long des intellectuels ». Mais ils ne font pas que se lamenter... BHL publie un « Éloge des intellectuels ».

Un entretien avec Bernard-Henri Lévy

Bernard-Henri Lévy (entretien), Information Juive, 01 mai 1987

La pensée a-t-elle besoin d’être sauvée ? À quoi sert un intellectuel ? Que signifie « l’Universel » ? La politique est-elle un piège pour l’écrivain ?

Un « nouveau philosophe » s’interroge sur le destin d’un fils de « collabo »

Jean-Claude Lamy, France-Soir, 02 octobre 1984

Avec « Le Diable en tête », Bernard-Henri Lévy aborde pour la première fois le roman, en prenant des risques.

BHL, archange, comédien et martyr

Jean-Louis Ezine, L’Express, 29 juin 1984

Ses façons d’émeutier mâtinées de dandysme rendent BHL plus conforme à la chevalerie lettrée du XIXe siècle qu’au froid désenchantement du nôtre.