Le philosophe Bernard-Henri Lévy évoque l’ampleur de sa dette envers cette femme politique de premier plan.
Obama : un an à la Maison-Blanche. Construire la démocratie afghane. Au cinéma, une fable sur la maladie des âmes que fut le communisme.
On finirait par l’oublier, note encore Lévy, un intellectuel, c’est quelqu’un qui pense, fréquente les bibliothèques plutôt que les manifs.
L’écrivain laisse au vestiaire les grands mots lyrico-sévères pour livrer une foudroyante radioscopie du 7 octobre. Et revenir à l’essence de l’âme juive.
Pierre Bergé explique pourquoi il faut lire le dernier livre de Bernard-Henri Lévy, qui signe une défense et illustration des intellectuels.
BHL a choisi, pour « Vogue Hommes », de « réfléchir » sur le phénomène du siècle : la séduction.
Dans son premier roman « Le Diable en tête » (Grasset), BHL revit les illusions perdues de sa génération hantée par ce mal du siècle, le fascisme. Dans un entretien avec Paul Guilbert, il s’explique sur son passage de l’essai au roman et sur la présence du Mal en politique.
Le Goncourt, demain, se joue dans un mouchoir. Poirot-Delpech ? Marguerite Duras ? ou Bernard-Henri Lévy ?
Ses livres sur Daniel Pearl et les guerres oubliées font un tabac aux États-Unis et son côté « parisien », qui agace ici, séduit là-bas. Nous l’avons suivi à New York pendant son marathon médiatique, au moment où il publie en France « Récidives », un recueil de textes très personnels.
« Le Diable en tête » est le premier roman de Bernard-Henri Lévy, et c’est époustouflant de maîtrise, de technique, d’intuitions littéraires.
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