Rien n’est plus étranger au philosophe que la métaphysique à l’œuvre dans le livre de Dominique de Villepin, « Le cri de la gargouille ».
Villepin garde le cap. Les nouveaux philosophes ont-ils à rougir de leurs engagements, de leur jeunesse ? Dieudonné et le virus antisémite.
Voyage de Sarkozy : Haïti méritait mieux. Le retour, en politique, du discours animalier. Le bon dos du « parler cru » à gauche contre la noblesse des mots.
Le philosophe publie un nouvel essai, ce mercredi, sur la « Solitude d’Israël » dans sa guerre contre le Hamas. C’est, à ses yeux, bien plus que la survie de l’État hébreu qui se joue dans ce conflit au Proche-Orient. Mais – comme en Ukraine – une « guerre de civilisation » entre le monde libre et la tyrannie.
L’écrivain laisse au vestiaire les grands mots lyrico-sévères pour livrer une foudroyante radioscopie du 7 octobre. Et revenir à l’essence de l’âme juive.
On ne peut pas accepter l’hypocrisie et la désinformation qui attend un prétexte pour, quand Israël commet une erreur, faire déferler la haine.
Bernard-Henri Lévy publie chez Grasset « Pièces d’identité » et « De la guerre en philosophie ». De ces deux travaux très différents se dégage le portrait d’un homme affairé, presque dispersé, mais apte à ramasser soudain sa pensée, autour d’une lutte majeure ou d’un concept neuf.
Mépris des Roms, outrage à l’esprit des lois, discours de guerre civile : le chef de l’Etat vient de commettre trois erreurs, estime dans une tribune au « Monde » le philosophe Bernard-Henri Lévy.
BHL a voulu, dit-il, faire « un pari » sur la liberté en créant « un vrai journal » en Afghanistan : « Les Nouvelles de Kaboul ».
La guerre en Irak : morally right, politically wrong. Poutine à l’Académie. Pauwels ressuscité. La mort de Daniel Toscan du Plantier.
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