Jorge Semprun a lu « Éloge des intellectuels » de Bernard-Henri Lévy, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut. Le débat est ouvert.
Dans « Solitude d’Israël », l’écrivain une radioscopie du 7 octobre. Il appelle les démocraties à aider le peuple juif à vaincre le Hamas.
BHL tiendra une conférence à Toulouse autour de « Solitude d’Israël », son dernier livre, écrit après le pogrom du 7 octobre. Interview.
Questions à Bernard-Henri Lévy à la lumière de Hegel, Heidegger et Leibniz.
Du siège de Sarajevo en 1992 au 7 Octobre en Israël, le philosophe fait le catalogue des mille et un manquements de l’ONU, acte son impotence et ses fourvoiements.
Après les Cambodgiens, les Afghans et les Polonais, l’écrivain Bernard-Henri Lévy prend la défense des intellectuels. Son nouveau livre est un plaidoyer contre les bateleurs qui les ont peu à peu remplacés dans tous les médias.
On finirait par l’oublier, note encore Lévy, un intellectuel, c’est quelqu’un qui pense, fréquente les bibliothèques plutôt que les manifs.
En panne, nos intellectuels ? À moins que ce ne soient leurs idées qui ne fassent plus recette ?
L’écrivain-philosophe sera à Marseille, le 3 avril, pour une conférence sur son livre, « Solitude d’Israël ». Il s’interroge sur la solidarité des démocraties.
Alors que des coalitions internationales s’étaient formées pour détruire Al-Qaeda puis Daesh, personne, regrette le philosophe, ne vient aider Israël à mener la guerre contre le Hamas.
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