Le philosophe et écrivain a lu « Le Crépuscule d’une idole. L’affabulation freudienne » (Grasset) de Michel Onfray. Critique.
Le film d’Arcady sur le calvaire d’Ilan Halimi. Les livres de René Girard et Alexandre Adler. « Le Misanthrope » de Michel Fau.
Le texte de fond consacré par Bernard-Henri Lévy, dans « La Règle du jeu », en juin 1990, au Front National et à son idéologie. Plus d’un quart de siècle après, ce texte n’a pas pris une ride.
Le discours de clôture prononcé par Bernard-Henri Lévy lors du colloque international « Heidegger et “les juifs” » organisé par la BNF et « La Règle du jeu », à Paris, du 22 au 25 janvier 2015.
Lors de son discours à l’Université hébraïque de Jérusalem, Bernard-Henri Lévy démontre l’importance de la contribution de Malraux à la pensée moderne de l’être-juif, en explorant son œuvre, son rapport à Israël.
En 2005, lors du Colloque de Cerisy qui portait sur « Jean-Paul Sartre : écriture et engagement », Bernard-Henri Lévy développe sa thèse du premier et du second Sartre pour répondre à la question suivante : comment le même homme a-t-il pu écrire ceci et cela ?
En pleine crise identitaire, que peut apporter le judaïsme ? Est-il universel au sens du souci, de la pensée de l’Autre ? Cet « Autre » qui peut revêtir tant de visages. C’est ce à quoi tente de répondre le philosophe, au travers de questions d’actualité politique et intellectuelle.
Après la publication de son deuxième roman, BHL soutient Salman Rushdie et crée sa revue, « La Règle du jeu ».
De la pandémie à Daniel Cordier, l’actualité de la semaine éclairée par l’analyse de notre chroniqueur-philosophe.
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