« BHL », comme une marque, appâte néanmoins lecteurs et auditeurs. La preuve ? Précisément l’ampleur des réactions qu’il suscite.
Jean-François Kahn : « Je ne crois pas qu’il faille s’interdire d’entendre BHL. L’exécration ne doit jamais faire boule Quiès. »
Dans le cas de Bernard-Henri Lévy, désormais, les meilleurs journalistes peuvent se perdre dans des eaux boueuses.
Bernard-Henri Lévy publie deux livres où passent Obama, Gary, Camus, Lévinas et Jean-Paul II, mais qui dessinent aussi un portrait de l’écrivain par lui-même. Rencontre avec un personnage protéiforme.
BHL évoque pour « Marianne » ses prises de positions sur l’Amérique, la gauche, les droits de l’homme, l’argent, Sarkozy, etc.
Comment le travail de l’intellectuel n’exclut pas un goût pour la vie et la légèreté ? Que cache le « Je » de Bernard-Henri Lévy ?
On nous parle d’une identité française en péril, mais il y en a une, d’identité, qui est, elle, en vrai péril, c’est l’identité européenne.
BHL adresse au futur président des États-Unis une lettre qui fait le point sur les nouveaux défis de cette grande puissance en déclin.
Tocqueville et le mont Rushmore, Marilyn Monroe, McDonald’s, le mythe Kennedy et Norman Mailer : les USA de BHL.
Bernard-Henri Lévy dialogue avec Anaëlle Lebovits et Deborah Gutermann, pour la revue « Le Diable probablement ».
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