Face à la guerre que nous livrent les nazislamistes, trois prises de position incongrues résument le déni quasi général des enjeux de la menace.
BHL décrit François Hollande comme un chef de guerre pleinement concerné par la situation des peshmergas et par le combat qu'ils mènent face à Daesh.
Comment l’écrivait si bien Romain Gary, « le nationalisme, c’est la haine d’autrui ; le patriotisme, c’est l’amour de soi et des siens ».
BHL réagit à la polémique sur le port de la kippa, après l'agression d'un enseignant à Marseille, et rappelle que ce n'est pas un acte de soumission à Israël.
L'appel à agir contre le terrorisme et à rompre avec le déni a occulté l'antisémitisme qui est l'une des marques de "la maladie de l'islam".
Pour Bernard-Henri Lévy, "il n'y a pas de meilleur choix que d'aider les Kurdes à nous aider à vaincre la barbarie sans pareille des coupeurs de tête de l'EI".
La question du burkini est un piège dans lequel sont tombés certains politiques. C'est aux autorités morales de l'islam d'apporter une réponse.
Ce massacre sans précédent dans l'histoire de la Nouvelle-Zélande ravive la question de l'immigration dans un pays qui compte moins de 1 % de musulmans…
L’auteur de « L’empire et les cinq rois » et du film « Peshmerga » revient sur l’intervention turque et l’abandon des Kurdes de Syrie par l’Occident.
Réflexion sur l’état du monde à l’âge des guerres d’Ukraine et de Gaza. Raphaëlle Milone évoque sa lecture de « L’Empire et les cinq rois » de BHL.
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