Jean-François Kahn : « Je ne crois pas qu’il faille s’interdire d’entendre BHL. L’exécration ne doit jamais faire boule Quiès. »
Bernard-Henri Lévy publie deux livres où passent Obama, Gary, Camus, Lévinas et Jean-Paul II, mais qui dessinent aussi un portrait de l’écrivain par lui-même. Rencontre avec un personnage protéiforme.
BHL évoque pour « Marianne » ses prises de positions sur l’Amérique, la gauche, les droits de l’homme, l’argent, Sarkozy, etc.
Sur le journalisme littéraire, sur les conteurs, les narratifs, les amants de la chose et du fait, les exégètes de l’infime, les explorateurs du banal.
Comment le travail de l’intellectuel n’exclut pas un goût pour la vie et la légèreté ? Que cache le « Je » de Bernard-Henri Lévy ?
Quatre lettres de BHL à Anatol Lieven à propos du mouvement néo-conservateur, de l’Amérique, du colonialisme, et de la démocratie.
À propos de la guerre en Irak, de la dilution de l’identité européenne, et de la paix au Proche Orient, et de l’idéologie française.
On ne peut pas accepter l’hypocrisie et la désinformation qui attend un prétexte pour, quand Israël commet une erreur, faire déferler la haine.
La crise sanitaire éclipse l’actualité des conflits dans le monde. BHL, invite à regarder en face ces crises humaines. Et à ne pas les oublier.
Guerre en Libye, Erdogan, souverainisme, gauche racialiste, Covid... Le philosophe, qui publie « Sur la route des hommes sans nom », défend son internationalisme.
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