Pourquoi, après un an de guerre en Ukraine, il faut absolument, pour la stabilité du monde, que l’armée de l’agresseur Poutine soit défaite.
Nos démocraties doivent appuyer une victoire totale de l’Ukraine pour mériter, de Téhéran à Taïwan, la confiance des peuples entrés en résistance.
Le philosophe revient d’Ukraine. Il y a vu la défaite de Poutine. L’on peut s’attendre, prévient-il, à ce que le dictateur pratique la politique de la terre brûlée.
À l’occasion des 50 ans du « Point », le philosophe, qui tient sa chronique depuis 1993, se souvient de la fondation de l’hebdomadaire en 1972.
Face à l’envahisseur russe, l’armée ukrainienne dispose d’une arme qui pourrait s’avérer décisive : le sentiment de mener une guerre juste.
Alors que l'Europe est à la veille d'élections cruciales, le philosophe Bernard-Henri Lévy a rencontré à Budapest le controversé Premier ministre hongrois.
Bernard-Henri Lévy s'est rendu dans le grand port de l'Ukraine, Odessa, cité symbole de la coexistence entre les peuples.
BHL et Bill Clinton dialoguent à propos de l'Ukraine et de ces « guerres oubliées » que nous nous obstinons à ne pas voir.
Organisant ce soir un meeting « S.O.S Ukraine », le philosophe Bernard-Henri Lévy rappelle que le seul « va-t-en guerre », c'est Poutine.
Bernard-Henri Lévy était à Kiev et s'est entretenu avec le président Petro Porochenko. Il nous rappelle à la solidarité promise à l'Ukraine il y a des mois.
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