Dans ce « journal d’un écrivain au temps de la guerre de Bosnie », Bernard-Henri Lévy se montre très lucide, aigu et sans complaisance.
Esprit de Sarajevo, toujours là. Unique et comparable, la Shoah. Véhémence d’André Glucksmann.
Leçon de vaillance et de dignité de la Bosnie, la voix vraie de l’Europe. L’esprit de Vichy et son contraire selon Schneidermann.
Etat de siège. Je me souviens de Jovan Divjak. Saddam et Eschyle. Halte à l’hallali contre Michael Jackson. Lucio Fanti, lecteur de Maïakovski. Louis Althusser et ses peintres. Faire du Hegel sans le savoir. Pour Bernard Kouchner.
« “Hôtel Europe” est un texte sombre. Il est sombre comme ma pauvre petite Bosnie qui survit, vaille que vaille ».
Bernard-Henri Lévy a été reçu au Vatican, pour préparer le 50e anniversaire de l’encyclique « Nostra Aetate ». Le pape François lui a fait forte impression.
Après la mise en cause de BHL par Erdogan à propos de la chute du président Morsi, le philosophe met les choses au point.
Bernard-Henri Lévy se souvient de 10 personnalités musulmanes qui ont marqué sa vie.
Dans « Sur la route des hommes sans nom » BHL revient sur ses huit reportages pour « Paris Match ». L’occasion d’une réflexion sur sa « drôle de vie ». Enquête sur un phénomène français qui fascine encore plus qu’il exaspère.
Dans son discours d’acceptation de la citoyenneté d’honneur de la ville de Sarajevo, prononcé le 28 novembre 2013 dans la capitale bosniaque, Bernard-Henri Lévy revient sur son lien indéfectible avec la Bosnie-Herzégovine et son peuple.
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