C’est une polémique étrange, sournoise et, à vrai dire, assez minable qui se développe, depuis des semaines, sur le dos des massacrés du Darfour.
Dans son film « Slava Ukraini », qui sort en salles le 22 février prochain, le philosophe rend hommage au peuple ukrainien, à sa résistance et à son courage. Du grand BHL.
Pour le philosophe, réalisateur de « Slava Ukraini », ce sont les Ukrainiens qui mènent une vraie « guerre patriotique », et l’emporteront face à la Russie.
Depuis huit ans, c’est le combat de sa vie : l’intellectuel engagé lui consacre un deuxième long-métrage, « Slava Ukraini », vive l’Ukraine.
Il y a cinq raisons au moins qui font qu’on ne peut pas dire que Bachar Al-Assad soit une « alternative » à Daech. Explication de BHL.
Un texte fort cosigné avec Woody Allen, Umberto Eco, David Grossman, Amos Oz, Orhan Pamuk, Salman Rushdie et Wole Soyinka.
Une interview iconoclaste de Bernard-Henri Lévy. L’intellectuel « vedette » de gauche rompt avec le pouvoir en affirmant : la folie du PS est de vouloir suivre un PC en perdition.
Le nazisme est en train de devenir un terrain de jeu où s’amusent les bad boys d’un Hollywood qui décident ce qui est réel et ce qui ne l’est pas.
Cette guerre est-elle juste ? Pourquoi la Libye ? Que savez-vous de vos insurgés et d’où tenez-vous que cette insurrection mènera à une Libye nouvelle ?
Angelina Jolie réalise « Au pays du sang et du miel » : un film engagé sur la guerre de Bosnie qui « sonne incroyablement juste ».
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