Depuis trente, seigneurs de la guerre et milices islamistes chababs sèment le chaos en Somalie, et règnent encore sur Mogadiscio.
Bernard-Henri Lévy est retourné sur les terres misérables d'Afghanistan où la paix semble impossible entre seigneurs de la guerre et intégristes religieux.
En ouverture du colloque « Le visage, la rencontre de l'autre » organisé par le CRIF, le CRAN et le Collège des Bernardins, BHL interroge la querelle fraternelle, le différend, entre le judaïsme et les Églises chrétiennes et, singulièrement, le catholicisme.
La réponse en cinq points de Bernard-Henri Lévy au président du Bloc identitaire, M Fabrice Robert.
Retour sur le travail d’enquête de Bernard-Henri Lévy au Pakistan, à propos des réseaux du terrorisme mondial, à la suite de l’assassinant de Daniel Pearl par des djihadistes.
Il faut lire « Les quinze jours qui ont fait basculer Kaboul », de David Martinon. Le récit poignant d’un diplomate face à la guerre.
L’aide de camp du Commandant Massoud témoigne de l’engagement profond de Bernard-Henri Lévy, depuis quarante ans, pour la cause afghane.
Dans les années 90, Bernard-Henri Lévy a dénoncé la barbarie intégriste du GIA en Algérie, à travers des reportages tel que « Le Jasmin et le sang ».
Dans un texte écrit en 2014, Armin Arefi revient sur les différents combats qui ont mobilisé Bernard-Henri Lévy en 2009 et 2010 pour défendre la démocratie iranienne. Le philosophe a en effet dénoncé la prise de pouvoir d’Ahmadinejad, avant de s’investir, avec La Règle du Jeu, pour sauver le cinéaste Jafar Panahi, puis Sakineh, victimes du régime islamiste de Téhéran.
Le philosophe s'oppose aux réalistes ou aux souverainistes qui plaident pour une solution négociée en Ukraine. « Poutine ne sait rien faire de mieux que la guerre », prévient-il.
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