Izetbegovic s’est confié sans détour à l’écrivain, sur une note intime et crépusculaire, révélant des aspects méconnus de la guerre.
Pliouchtch et BHL protestent contre le « cynisme » de l’hommage rendu par l’U.R.S.S. à une culture et à un peuple toujours persécutés.
Dommage pour « Belle du Seigneur ». Un meurtre pour une minute d'antenne. Faut-il épeler les noms des otages français au Liban ? A la guerre comme à la guerre. Jean-Bernard Raimond n’a rien compris. Tabassage dans les commissariats. Refuser la guerre civile. S.O.S. Racisme, lui, a tout compris. Ras le bol l’union sacrée.
Barre est-il encore démocrate ? Vive la cohabitation ! A gauche, comme d’habitude. Les écrivains parlent beaucoup trop. Flaubert et Stendhal. Le sang-froid de Charles Baudelaire. Nourissier n’est pas un romancier français. Un dérapage à « Libération ».
Encore Berlusconi. Comme mort. Révérences et idolâtries. Un journal pestiféré ? Pourquoi je ne suis pas libéral. Le sexe est toujours coupable. Orban éditeur. Scarlett et la princesse de Clèves. Autant en emporte le vent.
Quand Claude Cheysson exposait à des journalistes étrangers quelques-uns des principes qui guident depuis un an son action diplomatique.
Le gouvernement envisage de découper Paris en 20 communes. Le Maire de Paris, Jacques Chirac, ne l’entend pas de cette oreille.
Les meilleurs des Palestiniens continueraient-ils, fût-ce sans le dire, de nourrir la nostalgie d’un monde sans Israël ?
Schuhl prix Goncourt. À Jérusalem. Truffaut, Flaubert et James Gray. Corneille et la politique. Rinaldi contre Savigneau. Une odeur de chiottes et de sang.
Quand le nouvel antisémitisme ne prend même plus la peine de dire « sionistes » ou « pro-israéliens »...
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