L’Ukraine ne peut pas perdre la guerre, affirme une nouvelle fois le philosophe, qui explique pourquoi en trois points.
Discours de réception de la palme d’or, Rassemblement national, Erdogan… Malaise dans la décivilisation, pour reprendre le mot de Norbert Elias.
Sous l’Iran, un oubli, la Perse, explique le philosophe, qui raconte comment cette dénomination est tombée en désuétude.
« Slava Ukraini » (« Vive l’Ukraine »), c’est le titre du deuxième film de combat que le philosophe consacre au conflit qui depuis le 24 février 2022 bouleverse les relations internationales. BHL nous raconte son année de tournage sur le front. Et dresse son analyse géopolitique du conflit.
Pour le philosophe, réalisateur de « Slava Ukraini », ce sont les Ukrainiens qui mènent une vraie « guerre patriotique », et l’emporteront face à la Russie.
Kobané va tomber. Il n’y a plus, à l’heure qu’il est, qu’un moyen de sauver ce qui reste de Kobané et ce moyen c’est la Turquie.
Dans le Haut-Karabakh, l’Azerbaïdjan, soutenu par Erdogan, opère contre l’enclave arménienne un blocus qui s’apparente à un nettoyage ethnique.
Nos démocraties doivent appuyer une victoire totale de l’Ukraine pour mériter, de Téhéran à Taïwan, la confiance des peuples entrés en résistance.
Et si la célébration de Mai 68 s’abreuvait à la source de l’événement – à l’impertinence, la rage ironique, la fraternité érudite ?
Les dictateurs Abadi, Erdogan, el-Assad et Khamenei, menacent les Kurdes de représailles pour essayer de faire taire leur volonté d’indépendance.
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