« Slava Ukraini », de Bernard-Henri Lévy, sortira en salles le 22 février. Christine Angot l’a vu en avant-première, et livre au « JDD » ses impressions.
Pour le philosophe, réalisateur de « Slava Ukraini », ce sont les Ukrainiens qui mènent une vraie « guerre patriotique », et l’emporteront face à la Russie.
Le philosophe rend hommage au « trublion » Philippe Tesson, qu’il rencontra dès 1969 et qui, le premier, lui donna une accréditation de presse.
Avec la sortie de son film « Slava Ukraini », le philosophe, écrivain et grand reporter Bernard-Henri Lévy témoigne des réalités de la guerre en Ukraine. Et de ses héros anonymes.
Depuis huit ans, c’est le combat de sa vie : l’intellectuel engagé lui consacre un deuxième long-métrage, « Slava Ukraini », vive l’Ukraine.
Bernard-Henri Lévy nous offre le second volet, poignant, de ses déambulations sur le terrain d’une guerre ignoble. Sublime !
Le philosophe plaide pour un grand accord entre médias « réduisant au strict inévitable l’évocation des figures du crime ».
Les hordes de Daesh sont beaucoup plus braves quand il s’agit de faire sauter des Parisiens que lorsqu’il faut affronter de vrais soldats de la liberté.
« Il y a tout de même quelque chose de mystérieux, de très beau et de très mystérieux, dans la mobilisation de ce dimanche. »
Après l’attentat contre « Charlie » : c’est l’heure d’un devoir de vérité implacable face à une épreuve qui s’annonce longue et terrible.
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