Alors que l'Europe est à la veille d'élections cruciales, le philosophe Bernard-Henri Lévy a rencontré à Budapest le controversé Premier ministre hongrois.
Cette fois, pas de doute pour BHL : les Russes se conduisent bien comme des nazis.
Bernard-Henri Lévy s'est rendu dans le grand port de l'Ukraine, Odessa, cité symbole de la coexistence entre les peuples.
La révolution portugaise est victime de sa mythologie, des intérêts qui sont investis en elle et de la sollicitude de ses parrains. Elle nous est arrivée sous forme de caricature. C’est de ce portrait déformé qu’il faut se défaire pour examiner en face les forces en présence, leurs conflits, leur stratégie.
Face aux dictateurs, il est bon d’appeler un chat un chat. Comme l’a fait le président américain en qualifiant Poutine de « boucher ».
BHL et Bill Clinton dialoguent à propos de l'Ukraine et de ces « guerres oubliées » que nous nous obstinons à ne pas voir.
Dans sa volonté de puissance, Poutine précipite les Ukrainiens dans le sang, mais aussi leurs frères russes épris de liberté, menaçant l’âme russe.
Sous couvert de lutte contre le terrorisme, l’opération de libération des otages de l'école de Beslan lancée par Poutine vire au massacre.
Le philosophe rétablit quelques vérités sur l’Ukraine, cette « terre de crime et de sang » qui compta aussi de nombreux Justes.
Mardi 1er mars, politiques, artistes et intellectuels se sont réunis à Paris, à l'appel de Bernard-Henri Lévy, pour un rassemblement en soutien au peuple ukrainien. Reportage.
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