Le premier roman de BHL sera sans doute un best-seller parce qu’il est un page-turner, c’est aussi un grand livre.
« Le Diable en tête » est un roman passionnant qui embrasse, à travers le portrait d’un terroriste, toute la légende, sombre, voluptueuse et cruelle, du siècle.
Dans son premier roman « Le Diable en tête » (Grasset), BHL revit les illusions perdues de sa génération hantée par ce mal du siècle, le fascisme. Dans un entretien avec Paul Guilbert, il s’explique sur son passage de l’essai au roman et sur la présence du Mal en politique.
« Le Diable en tête » nous restera comme le roman de l’éducation intellectuelle et sentimentale, des illusions perdues, d’une génération.
« Le Diable en tête », premier roman de BHL, n’est que la continuation par d’autres moyens de ses livres précédents.
C’est un bout de siècle que BHL, en très honnête romancier, campe bien, et de façon très vivante, avec son « Diable en tête ».
Archange des nouveaux philosophes et militant des droits de l’homme, BHL a succombé, lui aussi, à la tentation romanesque. François Nourissier découvre un jeune auteur...
Le philosophe, qui soutient depuis dix ans la cause de l’Ukraine, où il a tourné trois reportage de guerre, explique pourquoi il a accepté d’être distingué par l’ambassadeur en France.
Le premier roman de BHL est une œuvre mature, à la fois légère et dense, et dont les personnages traversent des périodes de l’histoire.
Le philosophe a présenté son film « L’Ukraine au cœur » au Congrès, à Washington, au moment où les élus américains doivent se prononcer sur une nouvelle aide pour l’Ukraine.
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