Rome et Athènes sont les épicentres de la tempête économique et financière qui est en train de secouer l’Europe et le monde...
Avec sa première pièce, jouée à partir du 23 novembre et mise en scène par Jean-Louis Martinelli, l’écrivain et philosophe passe en revue les maux de notre époque.
La pièce de Bernard-Henri Lévy est un événement. Eh bien, il faut le reconnaître. Louis Pauwels salue une « œuvre puissante ».
Galia Ackerman salue l'engagement de BHL qui a « changé la donne » dans le combat pour sauver l'Ukraine de la domination russe.
Le 30 octobre 2007, à l’Institut culturel italien de Paris, Bernard-Henri Lévy, donne une conférence sur Alberto Moravia. L’occasion de revenir sur le parcours de ce « grand vivant », auteur sous-évalué, et modèle du grand intellectuel européen.
Le mouvement est à la croisée des chemins : préférera-t-il casser que réformer, s'enivrer du chaos plutôt qu'améliorer la vie des humbles ?
En ces temps sanitaires de distanciation sociale, le philosophe rappelle que la poignée de main est un indice de civilité, sinon de civilisation.
Au cours de l'année 2001, BHL est allé observer de près, cinq « guerres oubliées » : au Burundi, en Angola, au Soudan, au Sri-Lanka, en Colombie. Il a vu, au quotidien, ces « guerres de spectres », dont l'issue est indifférente au reste du monde, et qui n'en continuent pas moins de tuer par milliers, par centaines de milliers.
Le philosophe, qui a participé au printemps libyen en 2011, analyse la nouvelle situation politique en Syrie. Il plaide derechef pour la sanctuarisation du peuple kurde.
De son nom, on a fait des initiales dont le seul énoncé suscite déjà la polémique. Après l’échec de son film, Bernard-Henri Lévy se met à nu. Lucide. Sincère.
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