Avec le « Testament de Dieu », BHL expose une stratégie de « résistance » et une éthique précise de l’intellectuel, guetteur et solitaire.
Encore la privatisation de la télé. Ras le bol la gauche jacobine. Signes semblants et simulacres. Federico Fellini et l’assassinat du pape. Vive TF1 quand il programme « Shoah ». Andy Warhol's T.V. Ezra Pound et la radio. Le souci de la lettre et de la culture. Devenir ondes du monde et devenir monde des ondes. Nam June Paik sur Channel 13.
Mon ami Verdiglione. Le Pen et les chambres à gaz. Vienne, berceau du nazisme. Relire Hermann Broch, de toute urgence. Les salades de Tchernobyl. Les pompiers de l’Apocalypse. Un Sakharov mallarméen. Sartre ne comprend rien à la littérature. Dieu garde l'écrivain et ses héritiers.
Le 15 septembre 1991 BHL prononce un discours au Mémorial du Martyr juif inconnu. Il s’était prêté à l’exercice en 1979. Entre les deux discours, il y a eu le Procès Barbie, le Carmel d’Auschwitz, les guerres de Palestine et du Liban, les attentats de la rue des Rosiers et de la rue Copernic, le réveil du Front national et de son antisémitisme...
En septembre 1979, à la veille de Kippour, rue Geoffroy-l’Asnier, BHL prononce un discours au Mémorial du Martyr juif inconnu. Dans cette allocution le philosophe insiste : « L’heure me paraît grave et toute bruissante de sinistres présages. »
Allocution prononcée BHL en clôture de la Convention nationale du Crif, le 18 novembre 2018. Il exprime, dans ce long texte, pourquoi la colère, en République, ne saurait avoir tous les droits. Et les très grandes réserves que lui inspire ce mouvement.
L’écrivain l’avoue : il déteste les retours – en arrière, aux sources, à la nature… Et, tout au long de sa vie, il en a fait une philosophie.
Après un an de chronique au « Matin », BHL s’adresse à ses lecteurs pour un bilan d’écriture : pour la première l’actualité s’absente.
De nouveau les charniers de Beyrouth. Mais vus cette fois d’Israël. Ou de la communauté juive française.
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