Pour BHL il faut, quoi qu’il en coûte, à propos de « l’Affaire Battisti », rappeler, une fois encore, un certain nombre de principes.
Le philosophe a été cité par les avocats de la partie civile dans deux procès distincts, l’un intenté à Siné, l’autre à Jean-Marie Garcia.
« Walkyrie », avec Tom Cruise, pose un certain nombre de questions complexes, délicates, insolubles dans la seule logique hollywoodienne.
L’élection de Barack Obama, qui signe la fin de la politique conçue comme région de la pigmentologie, est une chance pour le monde.
Puisqu’il n’y a pas de bons ou de mauvais morts, c’est non seulement Israël, mais les Palestiniens, qu’il faudra libérer de l’emprise du Hamas.
Le philosophe continue de penser que la suppression de la publicité, sans augmentation de la redevance, était une erreur.
BHL a lu « Regard sur la Bible » de F. Bettencourt Meyers, la traduction des « Psaumes » par Claudel et « Feuillets épars » de Primo Levi.
Après le drame de Bombay, il faut briser l’armée du crime pakistanaise, et les liens qui la rattachent à la face sombre de son administration.
« Reviens, Voltaire, ils sont devenus fous » (Grasset) est un livre dense, grave, qui traite des questions les plus essentielles de notre temps.
Obama président ? Ce sera, comme avec Kennedy, la renaissance morale, sociale, économique et politique, qu’attendent les États-Unis, et le monde.
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