Comment Chevènement fonde sur le terrain de cette bonne vieille droite classique, toute sa récente prétention à un destin national ?
Quand se décidera-t-on enfin à appeler un chat un chat, un xénophobe un xénophobe et un homme de droite un homme de droite ?
Mitterrand a-t-il vraiment lu les « Verbatim » d’Attali ? Attali a-t-il abusé et Mitterrand et Wiesel ? Hypothèse – romanesque – sur une affaire d’Etat qui était, peut- être, une affaire de dupes.
Quand le nouvel antisémitisme ne prend même plus la peine de dire « sionistes » ou « pro-israéliens »...
Eh bien, Guyotat est de retour. Et il l’est à travers deux textes : « Progénitures » (Gallimard), « Explications » (éditions Léo Scheer).
Discours de réception de la palme d’or, Rassemblement national, Erdogan… Malaise dans la décivilisation, pour reprendre le mot de Norbert Elias.
Terne, cette campagne ? Mortelle d’ennui ? Oui, sans doute... Encore que... Des temps forts. Des vraies scènes.
Levinas et la « parité ». Gérard Wajcman entre Duchamp, Malevitch et Lanzmann.
Après Pinochet, les Khmers rouges. Jean-Pierre Chevènement, saint républicain. Beaucé romancier. Rothko au musée d’Art moderne. Le corps subtil de Michel Petrucciani. Le dernier rabbin. L’euro contre Kojève. Claudio Magris, agent double.
Ce que révèlent, au juste, les mots de Rocard ? Les mœurs d’une mitterrandie qui aura donné d’elle-même l’image d’une secte balzacienne.
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