Questions à Bernard-Henri Lévy à la lumière de Hegel, Heidegger et Leibniz.
Du siège de Sarajevo en 1992 au 7 Octobre en Israël, le philosophe fait le catalogue des mille et un manquements de l’ONU, acte son impotence et ses fourvoiements.
Après les Cambodgiens, les Afghans et les Polonais, l’écrivain Bernard-Henri Lévy prend la défense des intellectuels. Son nouveau livre est un plaidoyer contre les bateleurs qui les ont peu à peu remplacés dans tous les médias.
Bernard-Henri Lévy se demande où sont passés les vrais intellectuels. Et attaque les idées reçues de notre temps.
Bernard-Henri Lévy rappelle, dans son « Éloge », qu’un intellectuel ne saurait être confondu avec un animateur de restau du cœur.
On finirait par l’oublier, note encore Lévy, un intellectuel, c’est quelqu’un qui pense, fréquente les bibliothèques plutôt que les manifs.
En panne, nos intellectuels ? À moins que ce ne soient leurs idées qui ne fassent plus recette ?
L’écrivain-philosophe sera à Marseille, le 3 avril, pour une conférence sur son livre, « Solitude d’Israël ». Il s’interroge sur la solidarité des démocraties.
Alors que son dernier essai « Solitude d’Israël » vient de sortir, le philosophe participera ce mardi 2 avril à Nice à une soirée de solidarité avec l’État hébreu. Qu’il soutient bec et ongles…
En racontant le « plus vieux peuple persécuté du monde », confronté une nouvelle fois, le 7 octobre, à « la plus vieille de toutes les haines » et à sa solitude, BHL a, selon Mathieu Laine, écrit un de ses plus grands livres.
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