Le philosophe Bernard-Henri Lévy évoque l’ampleur de sa dette envers cette femme politique de premier plan.
Obama : un an à la Maison-Blanche. Construire la démocratie afghane. Au cinéma, une fable sur la maladie des âmes que fut le communisme.
Le 26 mai 1977, dans « Les Nouvelles littéraires », Roland Barthes, « enchanté » par sa lecture, salue le style du premier livre de BHL, « La Barbarie à visage humain », reconnaissant là « le grain d’une écriture ».
La disparition du communisme rend la démocratie aveugle à son nouvel ennemi, l’intégrisme, nous explique le philosophe.
Quand BHL évoque les intellectuels français, le ton est souvent décapant. Sur Antenne 2, sa série « Les Aventures de la liberté » a sans doute fait grincer des dents. Exactement comme le personnage de Bernard-Henri Lévy lui-même.
On finirait par l’oublier, note encore Lévy, un intellectuel, c’est quelqu’un qui pense, fréquente les bibliothèques plutôt que les manifs.
L’écrivain laisse au vestiaire les grands mots lyrico-sévères pour livrer une foudroyante radioscopie du 7 octobre. Et revenir à l’essence de l’âme juive.
Pierre Bergé explique pourquoi il faut lire le dernier livre de Bernard-Henri Lévy, qui signe une défense et illustration des intellectuels.
BHL a choisi, pour « Vogue Hommes », de « réfléchir » sur le phénomène du siècle : la séduction.
Dans son premier roman « Le Diable en tête » (Grasset), BHL revit les illusions perdues de sa génération hantée par ce mal du siècle, le fascisme. Dans un entretien avec Paul Guilbert, il s’explique sur son passage de l’essai au roman et sur la présence du Mal en politique.
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