« Slava Ukraini », de Bernard-Henri Lévy, sortira en salles le 22 février. Christine Angot l’a vu en avant-première, et livre au « JDD » ses impressions.
Depuis le début de la guerre en Ukraine, le philosophe filme ce qu'il voit sur le terrain. À l'approche des un an du début du conflit, il revient sur ceux qu'il a rencontré sur place.
Depuis huit ans, c’est le combat de sa vie : l’intellectuel engagé lui consacre un deuxième long-métrage, « Slava Ukraini », vive l’Ukraine.
Les hordes de Daesh sont beaucoup plus braves quand il s’agit de faire sauter des Parisiens que lorsqu’il faut affronter de vrais soldats de la liberté.
« Il y a tout de même quelque chose de mystérieux, de très beau et de très mystérieux, dans la mobilisation de ce dimanche. »
Le philosophe et écrivain Bernard-Henri Lévy répond du tac au tac à un questionnaire hétéroclite.
Je crois qu’il faut défendre cette femme à la fois pour elle-même, et pour ce que, désormais, sans l’avoir voulu, elle représente.
Après la mise en cause de BHL par Erdogan à propos de la chute du président Morsi, le philosophe met les choses au point.
Le retour de la guerre en Europe a vu le surgissement d’une empathie unanime à l’Ouest pour le peuple ukrainien et ses alliés. Mais cette solidarité inédite peut-elle durer ? À l’occasion de la sortie de « Slava Ukraini » de Bernard-Henri Lévy, enquête sur place...
BHL prend le contre-pied de « ceux qui, comme Claude Lanzmann, trouvent le temps long et tournent casaque » sur le dossier libyen.
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