Invité à Washington, le philosophe a acquis la conviction qu’une certaine Amérique, celle des droits de l’homme, est paradoxalement de retour.
Ne mâchant pas ses mots contre les soutiens français de Poutine, le philosophe défend la politique étrangère de Macron et plaide pour le boycott des JO de Pékin.
Lors de son discours à l’Université hébraïque de Jérusalem, Bernard-Henri Lévy démontre l’importance de la contribution de Malraux à la pensée moderne de l’être-juif, en explorant son œuvre, son rapport à Israël.
Le drapeau européen n’efface ni ne parjure rien, rappelle le philosophe à ceux qui s’indignaient de le voir flotter sous l’Arc de Triomphe.
Bernard-Henri Lévy poursuit la série de ses « Questions de principe ». Cette fois, c’est le recueil des années 2012-2018. Dans ce tableau d’une époque dans tous ses états, à la façon de l’oeil du cyclone qui reste immobile dans les turbulences du monde, on retrouve la plume de l’écrivain qui s’enfièvre mais ne tremble pas.
Depuis le retour des talibans, les persécutions contre la presse, les femmes et les minorités ethniques ou sexuelles sont monnaie courante.
Le 5 mars 2008, au 92nd Street Y de New-York, Bernard-Henri Lévy prononce la prestigieuse conférence annuelle sur « L’état du monde juif ». Le philosophe évoque ici l’histoire et le destin d’Israël, ses valeurs, sa force et ses travers, mais aussi le néo-antisémitisme qu’il propose de démasquer.
Le 20 janvier 2017, jour de l’intronisation de Donald Trump à Washington, Bernard-Henri Lévy rencontre Philippe Roth. Et c’est en la compagnie de ce grand nom des lettres américaines que le philosophe et écrivain va passer une partie de cette extraordinaire journée, qui scella l’avènement de Trump au pouvoir.
D’après le philosophe, le vote des Britanniques incarne la « victoire du souverainisme le plus sombre », préalable à « un possible crépuscule d’un projet de civilisation ». Soit les Européens se ressaisissent, soit le pire les attend
Le régime de Damas et le Kremlin sèment la mort dans une accablante indifférence. Rien n’a su convaincre nos dirigeants d’agir plus fermement, déplore l’écrivain et philosophe.
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