Le 1er décembre 2003, Bernard-Henri Lévy participait à la cérémonie de lancement de ce que l’on a appelé « l’Initiative de Genève » pour la paix au Proche-Orient, en tant qu’« Ambassadeur pour l’Europe » pour cet accord.
La complaisance de EELV, de LFI et du PC à l’égard du rappeur Médine est un nouveau signe de la déliquescence d’une certaine gauche française.
Le philosophe publie un livre-manifeste en faveur de la gauche. Un plaidoyer brillant où manquent deux piliers de la reconstruction : la nation et le social.
Violences en Irak, en Syrie et en Libye, troubles en Ukraine, inaction de l’Europe, antisémitisme éclatant à Barbès... Bernard-Henri Lévy analyse les soubresauts d’un monde où se multiplient les conflits.
Le négationnisme est le stade suprême du génocide. C’est vrai de l’Arménie comme de la Shoah. Il est essentiel que le législateur empêche l’effacement de cette mémoire.
Gorazde comme Sarajevo. Pourquoi Rocard devrait lire Colombani. Nicolas Sarkozy et l’amour de la politique. Faulkner et le cinéma. Jean-Marie Rouart et le jardinier de Ghislaine Marchal.
En Bosnie, comme au Koweït ? Du charme des rentrées littéraires. Filmer comme Héraclite philosophait ? L’affaire Heidegger, suite. Le terrorisme comme une épidémie.
Péguy, Benda et Bové. La métaphore selon Valéry. Pour une paix sèche. Raffarin à Saint-Pétersbourg. Paul Guilbert, un an après. Parcours de Hervé Bourges. Berlusconi, quelle honte ! L’honneur des journalistes.
Il ne fallait pas programmer Peter Handke à la Comédie-Française. Sa déprogrammation, qui apparaît comme une censure, est une autre erreur.
« “Hôtel Europe” est un texte sombre. Il est sombre comme ma pauvre petite Bosnie qui survit, vaille que vaille ».
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