L’exploration de son deuxième roman, « Les Derniers jours de Charles Baudelaire », permet de redécouvrir Bernard-Henri Lévy.
C’est tout un parfum de mort que BHL, ce diable de romancier, restitue avec force talent et minutie dans son roman sur Baudelaire.
Bernard-Henri Lévy conduit depuis toujours plusieurs destins en parallèle : le philosophe « guerrier », le cosmopolite, le politique, le littéraire...
BHL évoque pour « Marianne » ses prises de positions sur l’Amérique, la gauche, les droits de l’homme, l’argent, Sarkozy, etc.
L’Europe ayant « besoin d’un coup de théâtre », alors qu’elle menace de se transformer en « cause perdue », BHL interroge son avenir dans une nouvelle pièce de théâtre.
Invité hier de « On n’est pas couché », BHL a illuminé le plateau de Laurent Ruquier en élevant le débat et en offrant de la couleur à une période bien terne.
Contribution à Judea et Ruth Pearl, « I am Jewish: Personal Reflections Inspired by the Last Words of Daniel Pearl », Jewish Lights Publishing. Ici, Bernard-Henri Lévy explique comment il est juif.
Réponse, sur le coup de force des Lumières, à une enquête publiée dans son numéro de fin d’année par l’hebdomadaire allemand « Die Zeit ».
Où il est question de Lautréamont, Nietzsche, Sartre, Heidegger, Joyce, Proust, Céline, Artaud, Kafka, Bataille, de la Chine, du fascisme...
BHL adresse son soutien à l’écrivain bengalaise Taslima Nasreen, persécutée et proscrite par les islamistes de son pays.
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