Le retour au premier plan du Front national de Jean-Marie et, désormais, Marine Le Pen, est l’événement de ces élections régionales.
Il faudrait quand même que l’on arrête avec la mauvaise foi, les partis pris et, pour tout dire, la désinformation dès qu’il est question de Benoît XVI.
Au bal des Burschenschaften, Mme Le Pen s’est affichée avec des antisémites avérés dans un lieu où l’on fait fête à des négationnistes.
La démocratie compose avec le moindre mal dans l’espoir de conjurer le pire. Et le moindre mal aujourd’hui, c’est Macron ou Fillon.
Cible d’un dossier sur le site du « Diplo », l’écrivain évoque la misère et le déshonneur de ce journal qui n’a plus rien à voir avec son titre.
La généalogie de l’islamo-gauchisme, le courage et la détermination de Manuel Valls et un appel à la mobilisation générale contre l’islamisme radical.
Au bout d’une succession de péripéties improbables que l’on n’aurait pu imaginer, un jeune homme, presque inconnu il y a un an, entre à l’Élysée !
Le candidat de la France insoumise a changé... ou s’est trop bien adapté au rôle que la scène politique lui offrait et il est devenu son propre spectateur.
Il y a quinze ans, un deuxième tour avec Le Pen c’était un séisme : aujourd’hui, c’est une évidence. Comment on a pu en arriver là ?
Affaires, mises en examen, sanctions pénales... Tout semble glisser et ne laisser aucune trace sur le Front national et sur sa candidate Marine Le Pen.
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