Liu Xia, Salih Muslim, Ramin Hossein Panahi, Raïf Badawi, Alexeï Navalny : cinq dissidents dont il faut dire les noms pour empêcher l'oubli.
De juillet à décembre 2015, avec une équipe de cinéma, Bernard-Henri Lévy a remonté les 1000 kilomètres de la ligne de front qui sépare le Kurdistan irakien des troupes de Daech. De ce voyage est issu un journal de bord en images. Ce film a fait partie de la Sélection officielle du Festival de Cannes 2016.
Pendant que l’Occident se confine dans la peur d’un virus inconnu, un écrivain-reporter se rend sur le terrain des guerres oubliées, à la rencontre de femmes, d’hommes et d’enfants qui n’ont pas attendu la Covid pour être malmenés par la vie, la guerre, l’exode, la pauvreté, la faim.
Le réalisateur de « Peshmerga » s’insurge contre le retrait annoncé des Américains de Syrie et fait le vœu que l’Europe n’abandonne pas les Kurdes.
Pour Bernard-Henri Lévy, "il n'y a pas de meilleur choix que d'aider les Kurdes à nous aider à vaincre la barbarie sans pareille des coupeurs de tête de l'EI".
L'écrivain revient sur la bataille de Mossoul, la reprise de l'enquête sur les mails d'Hillary Clinton et la publication de "L'Homme debout" (Stock).
Un « historien citoyen » de Mossoul a découvert une synagogue qui a échappé à la destruction de Daech. Le philosophe lance un appel pour la sauver.
Donald Trump a abandonné un allié de longue date des États-Unis. Il semble que les démocratures pourront agir à leur guise en toute impunité.
Mossoul est enfin libérée. Mais quel avenir pour ses habitants ? Comment se comporteront les « libérateurs » ? Et quel avenir pour les Kurdes ?
Le philosophe, qui poursuit sa campagne européenne avec sa pièce « Looking for Europe », a rencontré à Prague le Premier ministre tchèque, Andrej Babis.
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