Le philosophe publie la somme de ses œuvres, textes, conférences et entretiens. L'occasion de vérifier que, s'il s'aime beaucoup, il est un homme de conviction.
Et si le dernier essai, « Ce Virus qui rend fou », de notre « nouveau philosophe » préféré était le pamphlet le plus punk de l’après-confinement ?
Un portrait-éloge de Sviatoslav Vakarchuk, rocker et poète épique, dont la voix et la musique transcendent la destinée du peuple ukrainien.
Comme Hegel ou Chateaubriand pour le christianisme, le philosophe français a pour ambition d’éclairer « L’esprit du judaïsme ». Une religion du Livre qui ne cesse de remettre en cause le Livre.
Dans « Sur la route des hommes sans nom » BHL revient sur ses huit reportages pour « Paris Match ». L’occasion d’une réflexion sur sa « drôle de vie ». Enquête sur un phénomène français qui fascine encore plus qu’il exaspère.
Le philosophe présente son film pour l’Ukraine à l’ONU ; rend hommage à Masih Alinejad ; appelle à la vigilance contre l’antisémitisme.
Dans les années 90, Bernard-Henri Lévy a dénoncé la barbarie intégriste du GIA en Algérie, à travers des reportages tel que « Le Jasmin et le sang ».
Dans un texte écrit en 2014, Armin Arefi revient sur les différents combats qui ont mobilisé Bernard-Henri Lévy en 2009 et 2010 pour défendre la démocratie iranienne. Le philosophe a en effet dénoncé la prise de pouvoir d’Ahmadinejad, avant de s’investir, avec La Règle du Jeu, pour sauver le cinéaste Jafar Panahi, puis Sakineh, victimes du régime islamiste de Téhéran.
Au plus près du terrain, du front à la résistance civile, Bernard-Henri Lévy filme la guerre en Ukraine et exhorte...
Dans le cadre de sa correspondance avec Michel Houellebecq en 2008, BHL évoque son « idée de la Russie », de Sakharov et Anna Politkovskaïa, jusqu'au poutinisme qui est « le banc d'essai de notre avenir ».
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