Le philosophe Bernard-Henri Lévy s’est rendu en Syrie, en Irak et aux portes de l’Iran pour retrouver trois branches du peuple martyr.
Bernard-Henri Lévy s’est rendu en Grèce, deux fois, au camp de Moria, où ils sont près de 20 000 réfugiés à croupir et à se désespérer. Des incendies d’origine criminelle ont ravagé le camp forçant les migrants à un nouvel exode.
Neuf ans après l’intervention française pour chasser Kadhafi, le philosophe retrouve un pays plus divisé que jamais.
Pendant six mois, le philosophe a accompagné et filmé les Peshmergas kurdes en Première ligne contre les forces de l’Etat islamique.
Après avoir vu « Aucun ours », le philosophe rend hommage au talent et au courage du cinéaste iranien Jafar Panahi, emprisonné à Téhéran.
Europe, gilets jaunes, climat… : Bernard-Henri Lévy dresse le portrait sans concession de notre époque. Avec verve et théâtralité.
La bataille qui se joue à Erbil n’est pas sans rappeler celle qui s’éternise à Kiev, le soutien des alliés en moins. Excepté quelques sénateurs américains.
Fin 2006, début 2007, alors qu’une loi visant à incriminer la négation du génocide des Arméniens fait débat, BHL a combattu le négationnisme en démontrant qu’il s’agit là du « stade suprême du génocide ».
Dans un texte écrit en 2014, Armin Arefi revient sur les différents combats qui ont mobilisé Bernard-Henri Lévy en 2009 et 2010 pour défendre la démocratie iranienne. Le philosophe a en effet dénoncé la prise de pouvoir d’Ahmadinejad, avant de s’investir, avec La Règle du Jeu, pour sauver le cinéaste Jafar Panahi, puis Sakineh, victimes du régime islamiste de Téhéran.
Le philosophe s'oppose aux réalistes ou aux souverainistes qui plaident pour une solution négociée en Ukraine. « Poutine ne sait rien faire de mieux que la guerre », prévient-il.
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