Si le livre de Lévy déchaîne une aussi intolérante véhémence, c’est sans doute qu’il y a quelque part un cadavre dans le placard.
Peut-on aimer l’auteur des « Mots » quand on l’a connu maoïste sans hauteur ? Bernard-Henri Lévy opte pour l’empoignade affectueuse.
Bernard-Henri Lévy va publier aux États-Unis, puis en France, un grand livre sur l’Amérique, sur les traces de Tocqueville : « American Vertigo ».
Avec son nouveau livre, « L’Empire et les cinq rois », Bernard-Henri Lévy récidive dans la défense d’un Occident fier de ses valeurs.
Sur les cimaises de la Fondation Maeght, Bernard-Henri Lévy raconte en 130 œuvres, de la Renaissance à aujourd’hui, le combat millénaire entre artistes et philosophes. Parcours guidé.
L’hostilité, BHL connaît. Pour un philosophe engagé, c’est le prix à payer. Mais la haine – notamment distillée ces jours-ci par « Le Monde diplomatique » ? Elle est anormale, estime Philippe Val, qui en dit ici les dangers.
Guerre en Libye, Erdogan, souverainisme, gauche racialiste, Covid... Le philosophe, qui publie « Sur la route des hommes sans nom », défend son internationalisme.
Pendant près de trois mois, le philosophe a parcouru le Vieux Continent pour une série de représentations théâtrales, vibrant plaidoyer pour l’Union européenne.
Dans « Ce virus qui rend fou », son dernier livre, le philosophe dresse un bilan de la crise sanitaire. Et dénonce cette « Première Peur mondiale » qui, au nom d’un hygiénisme exacerbé, a fait imperceptiblement glisser la société du contrat social au contrat vital.
Le philosophe médiatique publie son journal des événements en Libye, dont il a été témoin et acteur, de l’Élysée à Benghazi. D’où vient le besoin d’être aux premières loges de l’histoire, sur la ligne de front ? Marc Lambron tente de cerner Bernard-Henri Lévy, franc-tireur dont l’engagement impétueux fait cause commune avec l’ambition littéraire.
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