Depuis trente, seigneurs de la guerre et milices islamistes chababs sèment le chaos en Somalie, et règnent encore sur Mogadiscio.
Dans le pays le plus riche d’Afrique, les Fulanis, bergers musulmans du Nord, s’attaquent aux paysans chrétiens du Sud. Tout est en place pour un nettoyage ethnique. Le philosophe est parti enquêter sur place.
Le philosophe Bernard-Henri Lévy s’est rendu en Syrie, en Irak et aux portes de l’Iran pour retrouver trois branches du peuple martyr.
Bernard-Henri Lévy s’est rendu en Grèce, deux fois, au camp de Moria, où ils sont près de 20 000 réfugiés à croupir et à se désespérer. Des incendies d’origine criminelle ont ravagé le camp forçant les migrants à un nouvel exode.
Neuf ans après l’intervention française pour chasser Kadhafi, le philosophe retrouve un pays plus divisé que jamais.
Bernard-Henri Lévy est retourné sur les terres misérables d'Afghanistan où la paix semble impossible entre seigneurs de la guerre et intégristes religieux.
Les deux écrivains ont entretenu une correspondance aujourd’hui publiée sous le titre d'« Ennemis publics ». Beaucoup d'ironie, beaucoup d'amertume, mais surtout un livre de haute portée philosophique. Entretien croisé avec les deux « maudits » de la littérature française.
Pendant six mois, le philosophe a accompagné et filmé les Peshmergas kurdes en Première ligne contre les forces de l’Etat islamique.
Bernard-Henri Lévy : « Les populistes crient, braillent, les libéraux se taisent. Et quand une majorité silencieuse se tait, il manque une étincelle ! Il faut qu’elle vienne d’Angela Merkel, d’Emmanuel Macron, de François-Xavier Bellamy et les autres… Pour l’instant, ça ne va pas ! »
Bernard-Henri Lévy évoque, le temps d'un entretien-fleuve avec Nathan Devers, la genèse, le déroulement et les espoirs du geste théâtral et politique que constitue sa pièce « Looking for Europe ».
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