Bernard-Henri Lévy, sait se rendre indispensable, devenir à lui tout seul un émissaire entre la France et les rebelles libyens.
Après l’« aventure » en Libye, le livre. Bernard-Henri Lévy publie un récit, chanson de geste de Nicolas Sarkozy en chef de guerre.
Dans un chat sur le site du « Monde », BHL assure qu’il n’a pas pris la place du ministre des affaires étrangères, Alain Juppé, dont il dit qu’il fait « très bien son travail », en soulignant que cela n’a pas toujours été le cas, en Bosnie.
On attend maintenant les actes qui seront le corrélat de la déclaration courageuse de François Hollande et que nous attendions.
Selon Bernard-Henri Lévy, les raisons qui ont poussé, hier, à une intervention pour soutenir les insurgés libyens doivent nous amener à soutenir la rébellion syrienne.
Dans son nouveau livre, « La Guerre sans l’aimer », Bernard-Henri Lévy décrit la face cachée de la révolution libyenne, dont il fut un acteur clé. Philippe Tesson, qui le connaît bien et de longue date, salue les engagements de cet intellectuel épris d’action.
Les fanatiques qui ont assassiné à Benghazi l’ambassadeur américain en Libye, Christopher Stevens, ne sont pas seulement des criminels, ce sont des imbéciles, selon le philosophe.
Le philosophe Bernard-Henri Lévy est allé à Misrata, dans la cité rebelle que Kadhafi a voulu anéantir. Reportage.
BHL prend le contre-pied de « ceux qui, comme Claude Lanzmann, trouvent le temps long et tournent casaque » sur le dossier libyen.
Il faut être vigilant en Libye. Mais que ce devoir de lucidité serve d’alibi à un esprit de Munich revisité, voilà qui n’est pas acceptable.
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