Les livres de BHL, Finkielkraut, Bloom, Henry, annoncent peut-être le printemps de notre culture. La critique d’Alain Besançon.
En racontant le « plus vieux peuple persécuté du monde », confronté une nouvelle fois, le 7 octobre, à « la plus vieille de toutes les haines » et à sa solitude, BHL a, selon Mathieu Laine, écrit un de ses plus grands livres.
Dans son essai « Solitude d’Israël », le philosophe pose une réflexion après les massacres du 7 octobre. Le grand rabbin de France, Haïm Korsia, rappelle que l’urgence est à la défense d’Israël.
Le philosophe publie un nouvel essai, ce mercredi, sur la « Solitude d’Israël » dans sa guerre contre le Hamas. C’est, à ses yeux, bien plus que la survie de l’État hébreu qui se joue dans ce conflit au Proche-Orient. Mais – comme en Ukraine – une « guerre de civilisation » entre le monde libre et la tyrannie.
À quoi sert un intellectuel ? Réponse : à être le poil à gratter de la société, il doit compliquer les problèmes. C’est ce qu’explique Bernard-Henri Lévy, avec beaucoup de brio.
Aux États-Unis, Allan Bloom publie un éloge de la culture générale. À Paris, BHL un éloge des intellectuels. Les clercs crient à la trahison des autres.
Raymond Aron a lu « L’Idéologie française », et attaque le livre de BHL qui fait le procès du pétainisme et de la Révolution nationale.
Le premier roman de BHL sera sans doute un best-seller parce qu’il est un page-turner, c’est aussi un grand livre.
Réflexion sur l’état du monde à l’âge des guerres d’Ukraine et de Gaza. Raphaëlle Milone évoque sa lecture de « L’Empire et les cinq rois » de BHL.
BHL, enquêteur à haut risque, dispose aussi d’un œil et d’une plume d’écrivain, comme en témoigne son livre sur la mort de Daniel Pearl.
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