Retour sur le discours de Bernard-Henri Lévy à Médan, dans la maison de Zola, et hommage au romancier-métaphysicien.
Hommage à Michel Butel, auteur de journaux. Le philosophe Dominique-Antoine Grisoni, pour mémoire. Défense d'un coupable parfait, Alexandre Benalla.
Le président de la République, dans un entretien à « La Nouvelle Revue française », se demande s'il subsiste encore un peu de romanesque dans la politique…
Il s'appelle Pascal Bacqué. Il publie chez Florent Massot « La Guerre de la terre et des hommes ». Une légende des siècles et de l'humain, rien de moins.
Alors qu’il doit monter sur scène à Sarajevo, le philosophe fait revivre ses souvenirs de la ville assiégée. Et dit son anxiété face au devenir de l’Europe.
Le philosophe s’interroge sur ce qui fait le prix de la paix – sa beauté et sa rareté – alors que les maîtres du monde se jouent de ce bien inestimable.
Alors que 70 happy few soutiennent l'écrivain Pascal Bacqué, le philosophe rappelle l'obligation esthétique, éthique, voire politique de protéger les poètes.
Le penseur alerte sur le massacre de chrétiens au Nigeria. Aussitôt, des « spécialistes » polémiquent. D’un côté, les atrocités, de l’autre, les arguties.
Nous voici revenus aux temps anciens, celui d’avant les antibiotiques, celui de la chasse à l’étranger, celui des camps d’enfermement.
Il est temps de remettre la planète en mouvement. N’en déplaise aux devins de la deuxième vague, aux décroissants et aux procureurs du bilan carbone.
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