Malraux, ou l’engagement

Bernard-Henri Lévy, 28 novembre 2001

Lors du Colloque « Malraux, ombres et lumières » organisé par la Fondation Singer-Polignac et Jean-Marie Rouart en novembre 2001 à Paris, Bernard-Henri Lévy, lecteur d’André Malraux – qui a eu sur l’auteur « La Guerre sans l'aimer » une grande influence – est revenu sur la notion de l’engagement malrucien.

À propos

Ceci est le site officiel de Bernard-Henri Lévy. Il a été créé par Liliane Lazar en 1999, après 20 ans de recherches sur l'œuvre de l’auteur.

Comment je suis juif ?

Bernard-Henri Lévy, 20 juillet 2003

En 2003, l'Institut d'études lévinassiennes organise, à Jérusalem, une série de séminaires sur le thème suivant : « la pensée du Retour ». À cette occasion Bernard-Henri Lévy, membre fondateur de l'Institut, donne une conférence durant laquelle il répond à la question : « comment je suis juif ? »

Pour saluer Jean-Luc Lagardère

Bernard-Henri Lévy, 20 mars 2003

Au mois de mars 2003, à l'église parisienne Saint-François-Xavier, Bernard-Henri Lévy rend un vibrant hommage à son ami disparu : Jean-Luc Lagardère. L’occasion de revenir sur les multiples vies de ce grand capitaine d’industrie, qui était avant tout, aux yeux du philosophe, un grand et insatiable lecteur.

L’allure de Toscan

Bernard-Henri Lévy, 15 février 2003

Suite à la disparition du dernier nabab du cinéma français, le flamboyant producteur Daniel Toscan du Plantier, BHL salue, à l’Église de la Madeleine à Paris, la mémoire de cet ami, ce pygmalion du septième art. L'auteur dresse à cette occasion un portrait du producteur en artiste.

Douceur de Françoise Giroud

Bernard-Henri Lévy, 22 janvier 2003

Au Crématorium du Père-Lachaise, en 2003, Bernard-Henri Lévy salue la mémoire de Françoise Giroud, l’écrivaine avec qui il écrivit un livre : « Les Hommes et les Femmes ». Hommage à la mystérieuse et puissante femme de lettres et de combats, mais surtout à l'amie.

À la mémoire de Paul Guilbert

Bernard-Henri Lévy, 16 juillet 2002

A l’Église Saint-Germain, Bernard-Henri Lévy rend hommage à son ami Paul Guilbert, ancien secrétaire de Joseph Kessel et grand journaliste français. L'auteur évoque la fidélité de Guilbert aux hommes et aux idées, sa générosité et son grand courage face à la maladie.