L’exploration de son deuxième roman, « Les Derniers jours de Charles Baudelaire », permet de redécouvrir Bernard-Henri Lévy.
Trouver des excuses au Hamas, arguer que sa barbarie répondrait à une oppression antérieure reproduit une saloperie qui a l’âge de l’antisémitisme.
Bernard-Henri Lévy passe de l’essai au roman. Après les barricades, après Mao, l’anti-révolution de Baudelaire.
Il faut bloquer l’agression de la Géorgie par la Russie de Medvedev et Poutine, qui est un tournant décisif de l’histoire européenne.
La gauche a-t-elle plusieurs identités ? Quel rôle pour les intellectuels dans une campagne présidentielle ? Peut-on être conservateur et gauchiste ?
Pourquoi il est impossible, même et surtout quand on est sartrien, d’avoir raison contre Camus ? BHL évoque Camus, un de ses maîtres.
Il y a un an presque jour pour jour, c’était la révolution du Maïdan à Kiev. BHL retourne en Ukraine pour jouer sa pièce, « Hôtel Europe ».
Le soutien européen de Gilles Hertzog et Bernard-Henri Lévy aux partisans de cette « seconde révolution orange ».
Dans « Ce grand cadavre à la renverse », Lévy oppose la gauche « lyrique » à la gauche « mélancolique ». La critique de Jacques Henric.
Le philosophe s’inquiète du naufrage d’un hebdomadaire modéré. Il pleure la disparition d’un ami et célèbre le « ¡No pasaran! » ukrainien.
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